Des mécénats pour faire vivre nos engagements sur le terrain

GMF soutient chaque années des associations reconnues d’utilité publique et des partenaires institutionnels sur des causes qui lui sont chères. Nous développons avec nos partenaires des actions concrètes et impactantes pour répondre à des enjeux sociétaux et environnementaux. Découvrez les mécénats emblématiques portés par GMF.

La Cordée : plus de diversité sociale dans les services publics

Depuis 2023, GMF est mécène de La Cordée via la Fondation Covéa, association créée en 2016 dont la mission principale est de favoriser la diversité sociale dans le service public. Rébecca Desprez, co-présidente de La Cordée, nous présente les programmes et les actions menées par l’association tout au long de l’année.

La Cordée, un projet positif au service des autres

Créée par d’anciens élèves des classes Prépas Talents du service public, La Cordée rassemble des citoyens engagés pour l’égalité des chances, principalement des agents des services de l’État, des collectivités territoriales et des hôpitaux. En 2021, l’association est lauréate d’un appel à projet « 1 jeune, 1 mentor ». En charge du pôle Mentorat, Rébecca Deprez présente ce projet : « Nous souhaitions créer des binômes composés d’un agent public bénévole expérimenté et d’un jeune boursier. L’objectif étant d’accompagner le jeune sur son parcours, de lui permettre de gravir les marches quelle que soit son origine sociale. » Dans ce cadre, trois programmes d’insertion sont créés avec une visée commune : ouvrir les portes des métiers de la fonction publique à des jeunes boursiers, et favoriser ainsi la mixité et la diversité sociale.

Le programme Prépas Talents : un mentorat d’excellence

Les Prépas Talents sont un dispositif de l’État destiné aux étudiants les plus méritants pour les aider à préparer des concours qui leur donneront accès à des postes d’encadrement dans la fonction publique.

Rébecca Deprez raconte : « Dans ce cadre, le rôle de La Cordée est de proposer aux élèves un mentorat d’accompagnement avec un agent en poste ayant une connaissance précise des concours que les étudiants vont être amenés à passer. » Pour assurer au mieux cette mission de 9 à 12 mois auprès de l’élève, les mentors suivent également une formation. Rébecca Déprez passe en revue les aspects pragmatiques de cet accompagnement : « Il s’agit de les suivre dans leur projet professionnel, de leur permettre de se projeter sur les métiers, mais aussi d’organiser les révisions, d’apporter un soutien et de la motivation tout au long de l’année. » Pour autant, le suivi ne s’arrête pas là : « Les mentors partagent aussi des conseils sur la préparation d’un oral ou la rédaction d’une lettre de motivation. Si un étudiant est faible dans une matière, le mentor trouvera la ressource complémentaire pour le suivre et l’accompagner ».

Ambition service public : un programme d’orientation gratuit

Pour inviter les étudiants à rejoindre les Prépas Talents, un travail de sensibilisation et d’information autour des métiers de la fonction publique est nécessaire. C’est la raison d’être du programme Ambition service public : orienter et accompagner gratuitement les étudiants boursiers et les demandeurs d’emplois à mieux appréhender leur futur secteur. Rébecca dévoile les actions de sensibilisation mises en place : « Nous ciblons les licences 3 et les Masters. Nous présentons notre programme de 6 mois qui s’articule autour de mentorat et de masterclass sur les métiers de la fonction publique. Nous mettons en lumière des parcours inspirants qui peuvent susciter des vocations. Enfin, nous proposons des visites de grandes administrations comme Matignon ou le Conseil d’État, afin d’aider les étudiants à se projeter. » conclut Rébecca.

Ose la fonction publique : un programme ancré localement

Personnes en reconversion ou demandeurs d’emplois, Ose la Fonction Publique vise à mettre en relation les demandes spécifiques des agglomérations, des villes ou des territoires, avec des profils pouvant correspondre aux offres. « On est ici dans le champ de l’insertion professionnelle, l’idée étant clairement de pourvoir à de l’emploi local sur certains métiers. » précise Rébecca. L’accompagnement de La Cordée consistera donc à mettre en relation une offre et un profil, à informer sur les métiers, et à apporter un soutien pratique comme une aide à la rédaction de CV. 

Un engagement sans faille des agents du Service Public

Au sein de l’association, Rébecca souligne particulièrement l’investissement bénévole des agents auprès de La Cordée : « Au fond, tout cela est une histoire de transmission, rendre un peu de ce qu’on a reçu. La relation est riche entre les agents et les jeunes. La hiérarchie est absente, chacun apportant le meilleur de lui-même. Par ailleurs, accompagner ces jeunes au quotidien nous permet aussi changer de regards sur nos pratiques. Eux aussi nous font réfléchir et évoluer de manière très positive. »

Avec aujourd’hui plus de 600 binômes de mentorat mis en place dans ses programmes, La Cordée défend des valeurs d’inclusion et de solidarité chères à GMF. À travers ce mécénat, GMF contribue à l’accompagnement de ces jeunes, futurs agents du service publics, qui s’engageront demain au service des autres.

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Atypie Friendly : ouvrir l’enseignement supérieur au handicap

Partie prenante du Programme Investissement Avenir (PIA), l’un des grands plans de soutien de l’État, Atypie Friendly est un programme national qui favorise l’inclusion dans l’enseignement supérieur des étudiants souffrant de troubles du neuro développement. Sophie Lasserre, Responsable opérationnelle du programme, présente les actions de cette structure soutenue depuis 2023 par GMF, via la Fondation Covéa.  

Pourquoi souhaitez-vous préciser avec force qu’Atypie Friendly n’est pas une association ?

Nous sommes la preuve que l’État investit sur ces sujets de manière massive et innovante. Nous participons au grand plan de modernisation de la vie publique sur le volet qui est le nôtre : la transformation pédagogique de l’enseignement supérieur et de la recherche.

Cela va donc au-delà de l'accompagnement du handicap ?

Nous travaillons aussi sur les pédagogies innovantes auprès des enseignants. Nous leur donnons accès à des méthodes et ressources pédagogiques pour leur permettre d’adapter leur manière d’enseigner à ce type de handicap. Nous développons un système de recherche et de veille pour trouver les éléments pédagogiques les plus efficaces. Nous nous inspirons des méthodologies qui fonctionnent partout dans le monde.

De quel handicap parle-t-on ?

Au démarrage, de 2018 à 2022, Atypie Friendly concentrait son action sur les étudiants autistes. Mais depuis, et grâce à des fonds supplémentaires, nous nous ouvrons aux troubles du neuro développement au sens large. Notre mission demeure l’inclusion dans l’enseignement supérieur des personnes autistes et des personnes atteintes de troubles du neuro développement.

À quelle étape intervenez-vous ?

Nous accompagnons les étudiants à chaque étape de leur parcours. Nous sommes particulièrement présents lors des grands moments de transition qui peuvent se révéler anxiogènes : le passage du lycée à l’enseignement supérieur par exemple, ou plus tard, de la vie étudiante au nouvel environnement professionnel. Ces périodes bouleversent les repères acquis.

Durant la scolarité des élèves, en quoi consiste votre accompagnement ?

Il s’agit d’un soutien pédagogique bien sûr mais aussi sanitaire et médical : les aider à se nourrir correctement, à accéder aux soins, leur apporter un soutien psychologique notamment sur la santé mentale. Il faut savoir que ce public de jeunes adultes ne souffre pas de déficience intellectuelle. Ils sont un peu les oubliés de l’inclusion et ne bénéficient que de peu de dispositifs d’accompagnement. Ils résident parfois dans des déserts sociaux et médicaux et ne savent pas où aller chercher l’information.

Un exemple concret de votre action au quotidien ?

Les restaurants universitaires sont des lieux particulièrement bruyants. Cet environnement va générer de l’angoisse chez une personne autiste, qui ne s’y rendra plus et pourrait, à terme, ne plus s’alimenter régulièrement. Nous travaillons par exemple avec les CROUS pour un accès et des espaces dédiés dans les restaurants universitaires.

En quoi consiste la formation des enseignants ?

Sans connaissance de ces publics, il est difficile de transmettre. Nous avons donc formé plus de 10 000 personnels de l’enseignement supérieur à mieux appréhender l’autisme. Nous disposons d’un large éventail de modules de formations sur des thématiques dédiées : webinaires, ateliers, courts métrages etc. Le soutien de GMF est consacré à ce volet formation, et en particulier à la production de films pédagogiques diffusés largement, qui partagent une vision moderne et positive de l’autisme et des troubles du neuro développement.

Est-ce que votre activité comprend également des projets en recherche et innovation ?

Oui, la prospective est essentielle dans notre secteur. Nous sommes dans une logique collective de réseau : lorsque nous identifions un outil, nous le testons et l’implémentons là où nous sommes présents. Atypie Friendly est aujourd’hui présent dans une trentaine d’universités mais nous avons l’ambition de toucher l’ensemble des universités françaises.

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FFAC : un chien guide pour les personnes déficientes visuelles

Depuis plus de 50 ans, la Fédération Française des Associations de Chiens guides d’aveugles (FFAC) et ses associations affiliées permettent aux personnes déficientes visuelles de se déplacer en toute sécurité à l’aide d’un chien guide. Depuis 2023, GMF est mécène de la Fédération, via la Fondation Covéa, et soutient plus spécifiquement deux associations membres : l’Ecole des chiens guides de Paris et la Fondation Gaillanne dédiée aux mineurs.

Une Fédération au service de ses membres

Aujourd’hui, la FFAC rassemble 13 associations membres. « Comme toute Fédération, notre mission est de les soutenir, d’être à l’écoute et de les accompagner au quotidien. » explique Alexandre Cathelin, son Directeur général. Au sein de la FFAC, 10 associations régionales ont pour mission d’éduquer et de remettre gratuitement des chiens guides à des personnes aveugles et malvoyantes adultes. La Fondation Gaillanne, également membre de la Fédération, est la seule structure nationale à éduquer et à remettre des chiens à des adolescents déficients visuels. Alexandre Cathelin poursuit : « Nous possédons également notre propre Centre d’élevage situé dans le centre de la France. Ce chenil nous permet d’être autonomes et de mieux structurer l’éducation des chiens ». Le dernier membre de la FFAC est l’Association des maitres de chiens guides d’aveugle. « Notre rôle est aussi de défendre les droits des bénéficiaires de chiens guides. Lorsque l’on possède un chien guide en France, aucun accès ne peut vous être refusé. Nous sommes là pour veiller à ce que partout, les droits des aveugles et des malvoyants soient respectés. » poursuit Alexandre.

La FFAC est également un organisme de formation agréé. À l’issue de 4 ans de formation, elle est habilitée à délivrer un diplôme d’Éducateur de chiens guides d’aveugle reconnu par l’État.

Avant tout, des acteurs du handicap

Reconnue d’utilité publique, la FFAC vit grâce à la générosité du grand public (dons et legs) mais aussi grâce aux subventions d’autres fondations ou au mécénat d’entreprises. Ce qui rend Alexandre Cathelin le plus fier, c’est l’immense chaine de solidarité dont bénéficient la Fondation et ses membres. Les donateurs bien sûr, mais aussi les bénévoles et les familles d’accueil qui hébergent les chiens guides durant leur formation. « Nous sommes tous des acteurs au service du handicap. Le chien concentre l’attention et c’est normal, mais n’oublions jamais qu’il y a une personne au bout de la laisse. » conclut Alexandre.

Ce sont ces valeurs humaines de partage et de solidarité au service du handicap que soutient GMF à travers ce nouveau mécénat.

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GMF mécène de la FFAC, soutient plus spécifiquement l’Ecole des chiens guides de Paris et la Fondation Gaillanne dédiée aux mineurs :

  1. L’École des chiens guides de Paris : au service du handicap

    Élever, éduquer et remettre gratuitement un chien aux personnes déficientes visuelles, c’est la mission de l’École des chiens guides de Paris, membre de la Fédération française des associations de chiens guides d’aveugles. Laura Meynier, Référente communication et collecte, nous présente l’association soutenue depuis 2023 par GMF via la Fondation Covéa. 

    Pouvez-vous nous donner quelques chiffres clés pour commencer ?

    Depuis notre création, nous avons éduqué et remis 1150 chiens guides. Nous avons actuellement 220 binômes (chiens guides-personnes malvoyantes) en activité. C’est un aboutissement formidable même si le chemin est long.

    Comment éduquez-vous vos chiens ?

    Nous possédons notre propre centre d’élevage dans les Yvelines. Les chiots y sont pris en charge par une équipe de professionnels dès leur naissance. À partir de 3 mois, ils sont accueillis durant 9 mois par une famille d’accueil bénévole. Ils y apprennent les bases de l’obéissance et y vivent toutes sortes de situations. C’est la période durant laquelle le chien devient un parfait animal de compagnie.

    Et ce n’est que le début d’un long apprentissage.

    Absolument. À la fin de cette période le chiot passe un certificat d’entrée en éducation. Il entre alors en apprentissage pour 6 mois auprès des éducateurs du centre, pour devenir un vrai chien guide. Les piliers de sa formation sont l’obéissance renforcée, le déplacement en harnais, la recherche et le contournement d’obstacles, mais aussi la responsabilisation car le chien doit pouvoir faire preuve d’autonomie dans certaines situations. 

    À l’issue de cette formation, le chien est mis en contact avec des personnes malvoyantes ?

    Oui. Un certificat d’aptitude au guidage valide ces enseignements et les chiens sont présentés à des personnes en demande. Cette étape est suivie par une psychologue, un orthoptiste, un instructeur en locomotion et des éducateurs. C’est cette équipe qui va étudier collégialement le dossier et décider de l’attribution du chien. Nous avons beaucoup de demandes et il faut compter en moyenne deux ans pour bénéficier d’un chien.   

    Comment se déroulent les premiers contacts du chien avec son nouveau maitre ?

    Un pré-stage est organisé durant lequel la personne malvoyante vient travailler à l’école avec l’éducateur du chien. Elle peut également le prendre en week-end chez elle en tant que chien de compagnie. Peu à peu, la relation se consolide jusqu’au stage final de remise qui dure encore 3 semaines.

    Comment est géré le suivi des chiens ?

    La première année, le binôme est suivi par un éducateur. Au sein de l’école, un pôle est dédié au suivi des 220 binômes en activité. À partir de 8 ans, le chien effectue des bilans de santé réguliers. Démarre alors le process de renouvellement et de mise à la retraite du chien en place. Celui-ci peut rester chez son maitre, chez des proches de ce dernier, ou rejoindre une famille d’accueil bénévole.

    Vous nous faites réaliser que l’ensemble de ce processus est long et couteux.

    Un chien, formation et suivi, coute 25k€ à l’association. Il est bien sûr gratuit pour la personne malvoyante. Le sujet du financement est donc essentiel. Nous vivons grâce à la générosité des particuliers et du mécénat d’entreprises telles que GMF.

    À titre personnel, que vous apporte votre travail au sein de la l’association ?

    Une immense satisfaction. C’est un métier de passion. Un chien guide transforme la vie de son bénéficiaire, à l’image de ces mamans qui peuvent à nouveau accompagner leurs enfants à l’école. Au-delà du lien social, il change le regard sur le handicap. On me dit : « Avant, ma canne blanche stigmatisait mon handicap, aujourd’hui avec mon chien, on me parle spontanément, l’échange devient simple et naturel ».

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  2. La Fondation Gaillanne : un chien guide pour les jeunes aveugles

    Tout démarre au début des années 2000, lorsque Frédéric Gaillanne, lui-même non voyant, s’interroge sur la possibilité de faire bénéficier les adolescents non-voyants d’un chien guide. Il réalise alors qu’une Fondation développe ce projet au Canada mais que rien n’existe en France. Des années plus tard, la Fondation Gaillanne voit le jour. Camille Lévy, Chargée du développement des ressources, nous raconte la suite de cette aventure unique, soutenue depuis 2023 par GMF via la Fondation Covéa.

    Quelle est la mission exacte de la Fondation Gaillanne ?

    Elle est simple : éduquer et remettre des chiens à des adolescents malvoyants entre 12 et 18 ans. Notre structure est unique en Europe. Durant longtemps en France, on pensait que les adolescents vivaient déjà une période de transformation particulière, rendue d’autant plus difficile par la cécité. On estimait que confier un chien à un jeune durant cette période était trop difficile.

    C’est contre cette idée que s’est battu Frédéric Gaillanne, le fondateur de la Fondation ?

    Oui car Frédéric a pu bénéficier d’un chien guide et il connaissait l’apport incroyable de ce compagnon, notamment auprès des plus jeunes. C’est la raison pour laquelle il n’a rien lâché et a poussé toutes les portes.

    Précisément, qu’apportent les chiens aux adolescents ?

    Bien sûr, il y a l’autonomie et les déplacements sécurisés mais cela va bien au-delà. Pour ces jeunes souvent esseulés, cela permet de créer du lien avec les autres collégiens ou lycéens. La présence d’un chien donne confiance en soi et permet de s’ouvrir aux autres. Le cercle est vertueux. Plus on sociabilise au collège et au lycée, plus l’échec s’éloigne. La réussite scolaire entraine l’intégration professionnelle.   

    Et dans le cercle familial ?

    C’est la même chose. Le jeune est moins dépendant, il récupère sa place au sein de la fratrie. Une jeune fille nous racontait qu’avec son chien, elle pouvait se rendre à la boulangerie le dimanche matin et rapporter des croissants à toute la famille !

    Comment se déroule l’attribution d’un chien à un adolescent ?

    Nous équipons aujourd’hui 10 adolescents par an. Durant le parcours, nous recevons les enfants à trois reprises. D’abord lors d’un stage découverte le temps d’un week-end. C’est la première prise de contact, celle qui fait disparaitre la peur. Ils découvrent des chiens gentils, doux, bienveillants, qui les mettent en confiance. Ce stage est suivi d’une pré-classe de 5 jours : les enfants travaillent au centre avec les chiens sur un parcours unique au monde composé d’obstacles réels. Durant ces journées, ils testent plusieurs chiens et font des sorties en ville en situation réelle.

    Puis, vient le temps de la remise du chien à l’adolescent.

    Oui, et la classe de remise des chiens guides se déroule sur 3 semaines, durant les vacances scolaires. Au regard des affinités et du travail effectué en amont, les binômes sont créés. Durant 3 semaines, les enfants vivront avec leur chien, apprendront à le connaitre. Nous les accueillons dans des chambres individuelles. Pour ces jeunes, il s’agit d’un grand moment de convivialité et de partage. Les liens tissés avec les autres jeunes sont forts et perdurent dans le temps. À l’issue de cette classe, chaque jeune repart chez lui avec son chien.

    Est-ce qu’un suivi est mis en place ?

    Bien sûr. Un éducateur suit l’installation du chien au domicile du jeune mais aussi en milieu scolaire. Une sensibilisation est faite auprès de tous les collégiens ou lycéens pour qu’ils apprennent aussi à se comporter avec le chien. Enfin, nous restons en lien régulier avec l’adolescent durant les 8 années de travail du chien à ses côtés.

    En quoi consiste le soutien de GMF auprès de la Fondation ?

    Nous organisons des journées portes ouvertes qui ont pour vocation de promouvoir le projet de la Fondation et de sensibiliser au handicap visuel à travers des conférences et des ateliers. Dans ce cadre, le soutien financier de GMF est essentiel. Tout comme lors de la remise officielle des chiens guides aux adolescents. Nous tenons à en faire un moment symbolique d’émotion et de partage : les jeunes qui vivent avec leurs chiens depuis plusieurs mois montent sur scène, et nous pouvons physiquement voir leur métamorphose. Ils sont bien plus sûr d’eux : c’est poignant et bouleversant.

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Les parcs nationaux de France : la nature en partage

GMF et les parcs nationaux de France ont noué en 2008 un partenariat de mécénat animé par l’Office français de la biodiversité (OFB) sur le thème de « La nature en partage ». À la fois sociétal, éducatif et environnemental, ce partenariat s’inscrit au cœur de notre politique de Responsabilité Sociétale d’Entreprise (RSE). Ensemble, nous œuvrons #PourUneSociétéPlusHumaine.

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Le mécénat Unapei-GMF pour le respect des différences

Forte de ses valeurs d’humanité et de solidarité en actes, GMF s’engage à promouvoir l’égalité des chances et à développer des projets structurants. Un engagement qui trouve tout son sens auprès de l’Unapei pour améliorer la qualité de vie des personnes en situation de handicap intellectuel et construire une société plus solidaire et inclusive. #PourUneSociétéPlusHumaine

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GMF, partenaire de La Trousse à projets

Soucieuse du développement des projets pédagogiques et des problématiques environnementales, GMF s’est engagée aux côtés de la plateforme La Trousse à projets pour faciliter la mise en œuvre d'initiatives pédagogiques en lien notamment avec l'environnement.

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